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Arlitto
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La croyance Catholique - Page 2 Empty La croyance Catholique

Mar 15 Oct 2019 - 17:47
Rappel du premier message :

Crédo / Symbole de Nicée

Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant, 
créateur du ciel et de la terre,
de l’univers visible et invisible.
Je crois en un seul Seigneur, Jésus-Christ, 
le Fils unique de Dieu, 
né du Père avant tous les siècles :
Il est Dieu, né de Dieu, lumière, née de la lumière, 
vrai Dieu, né du vrai Dieu,
Engendré, non pas créé, de même nature que le Père ; 
et par lui tout a été fait.
Pour nous les hommes, et pour notre salut, 
il descendit du ciel ;
Par l’Esprit-Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, 
et s’est fait homme.
Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, 
il souffrit sa passion et fut mis au tombeau.
Il ressuscita le troisième jour, 
conformément aux Écritures, 
et il monta au ciel ; il est assis à la droite du Père.
Il reviendra dans la gloire, 
pour juger les vivants et les morts ; 
et son règne n’aura pas de fin.
Je crois en l’Esprit-Saint, 
qui est Seigneur et qui donne la vie ; 
il procède du Père et du Fils ;
Avec le Père et le Fils,
il reçoit même adoration et même gloire ; 
il a parlé par les prophètes.
Je crois en l’Église, 
une, sainte, catholique et apostolique.
Je reconnais un seul baptême
pour le pardon des péchés.
J’attends la résurrection des morts,
et la vie du monde à venir.
Amen.

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Mar 15 Oct 2019 - 17:54
Le Credo de Paul VI

Profession de foi du pape Paul VI
A la gloire du Dieu très saint et de Notre-Seigneur Jésus-Christ, confiant en l’aide de la Très Sainte Vierge Marie et des bienheureux apôtres Pierre et Paul, pour l’utilité et l’édification de l’Église, au nom de tous les pasteurs et de tous les fidèles, Nous prononçons maintenant cette profession de foi, dans la pleine communion spirituelle avec vous tous, chers frères et fils. 


UN SEUL DIEU, PÈRE, FILS ET SAINT-ESPRIT.

Nous croyons en un seul Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, Créateur des choses visibles comme ce monde où s’écoule notre vie passagère, des choses invisibles comme les purs esprits qu’on nomme aussi les anges, et Créateur en chaque homme de son âme spirituelle et immortelle. Nous croyons que ce Dieu unique est absolument un dans son essence infiniment sainte comme dans toutes ses perfections, dans sa toute-puissance, dans sa science infinie, dans sa providence, dans sa volonté et dans son amour. Il est Celui qui est, comme il l’a révélé à Moïse ; et il est Amour, comme l’apôtre Jean nous l’enseigne : en sorte que ces deux noms, Etre et Amour, expriment ineffablement la même divine réalité de Celui qui a voulu se faire connaître à nous, et qui, "habitant une lumière inaccessible", est en lui-même au-dessus de tout nom, de toutes choses et de toute intelligence créée. Dieu seul peut nous en donner la connaissance juste et plénière en se révélant comme Père, Fils et Esprit Saint, dont nous sommes par grâce appelés à partager, ici-bas dans l’obscurité de la foi et au-delà de la mort dans la lumière éternelle, l’éternelle vie.

Les liens mutuels constituant éternellement les trois personnes, qui sont chacune le seul et même Être divin, sont la bienheureuse vie intime du Dieu trois fois saint, infiniment au-delà de ce que nous pouvons concevoir à la mesure humaine. Nous rendons grâce cependant à la bonté divine du fait que de très nombreux croyants puissent attester avec Nous devant les hommes l’unité de Dieu, bien qu’ils ne connaissent pas le mystère de la Très Sainte Trinité. Nous croyons donc au Père qui engendre éternellement le Fils, au Fils, Verbe de Dieu, qui est éternellement engendré, au Saint-Esprit, personne incréée qui procède du Père et du Fils comme leur éternel amour. Ainsi en les trois personnes divines, coaeternae sibi et coaequales, surabondent et se consomment, dans la surexcellence et la gloire propres à l’être incréé, la vie et la béatitude de Dieu parfaitement un, et toujours "doit être vénérée l’unité dans la trinité et la trinité dans l’unité".


LE CHRIST, DIEU FAIT HOMME

Nous croyons en Notre Seigneur Jésus-Christ, qui est le Fils de Dieu. Il est le Verbe éternel, né du Père avant tous les siècles et consubstantiel au Père, homoousios to Patri, et par lui tout a été fait. Il s’est incarné par l’œuvre du Saint-Esprit dans le sein de la Vierge Marie et s’est fait homme : égal donc au Père selon la divinité, et inférieur au Père selon l’humanité et un lui-même, non par quelque impossible confusion des natures mais par l’unité de la personne. Il a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité. Il a annoncé et instauré le Royaume de Dieu et nous a fait en lui connaître le Père. Il nous a donné son commandement nouveau de nous aimer les uns les autres comme il nous a aimés. Il nous a enseigné la voie des béatitudes de l’Evangile : pauvreté en esprit, douleur supportée dans la patience, soif de la justice, miséricorde, pureté du cœur, volonté de paix, persécution endurée pour la justice. Il a souffert sous Ponce Pilate, Agneau de Dieu portant sur lui les péchés du monde, et il est mort pour nous sur la croix, nous sauvant par son sang rédempteur. Il a été enseveli et, de son propre pouvoir, il est ressuscité le troisième jour, nous élevant par sa résurrection à ce partage de la vie divine qu’est la vie de la grâce. Il est monté au ciel et il viendra de nouveau, en gloire cette fois, pour juger les vivants et les morts : chacun selon ses mérites - ceux qui ont répondu à l’amour et à la pitié de Dieu allant à la vie éternelle, ceux qui les ont refusés jusqu’au bout allant au feu qui ne s’éteint pas. Et son règne n’aura pas de fin.


L’ESPRIT SAINT ET LA VIERGE MARIE

Nous croyons en l’Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui est adoré et glorifié avec le Père et le Fils. Il nous a parlé par les Prophètes, il nous a été envoyé par le Christ après sa Résurrection et son Ascension auprès du Père ; il illumine, vivifie, protège et conduit l’Église ; il en purifie les membres s’ils ne se dérobent pas à la grâce. Son action qui pénètre au plus intime de l’âme, rend l’homme capable de répondre à l’appel de Jésus : "Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait" (Mt. V, 48). Nous croyons que Marie est la Mère demeurée toujours vierge du Verbe incarné, notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, et qu’en raison de cette élection singulière elle a été, en considération des mérites de son Fils, rachetée d’une manière plus éminente, préservée de toute souillure du péché originel et comblée du don de la grâce plus que toutes les autres créatures. Associée par un lien étroit et indissoluble aux mystères de l’Incarnation et de la Rédemption, la Très Sainte Vierge, l’Immaculée, a été, au terme de sa vie terrestre, élevée en corps et en âme à la gloire céleste et configurée à son Fils ressuscité en anticipation du sort futur de tous les justes ; et Nous croyons que la Très Sainte Mère de Dieu, nouvelle Ève, mère de l’Église, continue au ciel son rôle maternel à l’égard des membres du Christ, en coopérant à la naissance et au développement de la vie divine dans les âmes des rachetés.


LE PÉCHÉ, LA CROIX ET LE BAPTÊME

Nous croyons qu’en Adam tous ont péché, ce qui signifie que la faute originelle commise par lui a fait tomber la nature humaine, commune à tous les hommes, dans un état où elle porte les conséquences de cette faute et qui n’est pas celui où elle se trouvait d’abord dans nos premiers parents, constitués dans la sainteté et la justice, et où l’homme ne connaissait ni le mal ni la mort. C’est la nature humaine ainsi tombée, dépouillée de la grâce qui la revêtait, blessée dans ses propres forces naturelles et soumise à l’empire de la mort, qui est transmise à tous les hommes et c’est en ce sens que chaque homme naît dans le péché. Nous tenons donc, avec le Concile de Trente, que le péché originel est transmis avec la nature humaine, "non par imitation, mais par propagation", et qu’il est ainsi "propre à chacun". Nous croyons que Notre-Seigneur Jésus-Christ, par le sacrifice de la croix, nous a rachetés du péché originel et de tous les péchés personnels commis par chacun de nous, en sorte que, selon la parole de l’Apôtre, "là où le péché avait abondé, la grâce a surabondé". Nous croyons à un seul baptême institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ pour la rémission des péchés. Le baptême doit être administré même aux petits enfants qui n’ont pu encore se rendre coupables d’aucun péché personnel, afin que, nés privés de la grâce surnaturelle, ils renaissent "de l’eau et de l’Esprit Saint" à la vie divine dans le Christ Jésus.


L’ÉGLISE, ÉDIFIÉE PAR JÉSUS-CHRIST

Nous croyons à l’Eglise une, sainte, catholique et apostolique, édifiée par Jésus-Christ sur cette pierre qui est Pierre. Elle est le corps mystique du Christ, à la fois société visible instituée avec des organes hiérarchiques et communauté spirituelle, l’Eglise terrestre ; elle est le peuple de Dieu pérégrinant ici-bas et l’Eglise comblée des biens célestes ; elle est le germe et les prémices du Royaume de Dieu, par lequel se continuent, au long de l’histoire humaine, l’œuvre et les douleurs de la Rédemption et qui aspire à son accomplissement parfait au-delà du temps dans la gloire. Au cours du temps, le Seigneur Jésus forme son Eglise par les sacrements qui émanent de sa plénitude. C’est par eux qu’elle rend ses membres participants au mystère de la mort et de la résurrection du Christ, dans la grâce du Saint-Esprit qui lui donne vie et action. Elle est donc sainte tout en comprenant en son sein des pécheurs, parce qu’elle n’a elle-même d’autre vie que celle de la grâce : c’est en vivant de sa vie que ses membres se sanctifient ; c’est en se soustrayant à sa vie qu’ils tombent dans les péchés et les désordres qui empêchent le rayonnement de sa sainteté. C’est pourquoi elle souffre et fait pénitence pour ses fautes, dont elle a le pouvoir de guérir ses enfants par le sang du Christ et le don de l’Esprit Saint. Héritière des divines promesses et fille d’Abraham selon l’Esprit, par cet Israël dont elle garde avec amour les Écritures et dont elle vénère les patriarches et les prophètes ; fondée sur les apôtres et transmettant de siècle en siècle leur parole toujours vivante et leurs pouvoirs de pasteur dans le successeur de Pierre et les évêques en communion avec lui ; perpétuellement assistée par le Saint-Esprit, elle a charge de garder, enseigner, expliquer et répandre la vérité que Dieu a révélée d’une manière encore voilée par les prophètes et pleinement par le Seigneur Jésus. Nous croyons tout ce qui est contenu dans la parole de Dieu, écrite ou transmise, et que l’Eglise propose à croire comme divinement révélé, soit par un jugement solennel, soit par le magistère ordinaire et universel. Nous croyons à l’infaillibilité dont jouit le successeur de Pierre quand il enseigne ex cathedra comme pasteur et docteur de tous les fidèles, et dont est assuré aussi le corps des évêques lorsqu’il exerce avec lui le magistère suprême.


L’UNITÉ ET LA CATHOLICITÉ DE L’ÉGLISE

Nous croyons que l’Église, fondée par Jésus-Christ et pour laquelle il a prié, est indéfectiblement une dans la foi, le culte et le lien de la communion hiérarchique. Au sein de cette Église, la riche variété des rites liturgiques et la légitime diversité des patrimoines théologiques et spirituels et des disciplines particulières, loin de nuire à son unité, la manifestent davantage. Reconnaissant aussi l’existence, en dehors de l’organisme de l’Église du Christ, de nombreux éléments de vérité et de sanctification qui lui appartiennent en propre et tendent à l’unité catholique, et croyant à l’action du Saint-Esprit qui suscite au cœur des disciples du Christ l’amour de cette unité, Nous avons l’espérance que les chrétiens qui ne sont pas encore dans la pleine communion de l’unique Église se réuniront un jour en un seul troupeau avec un seul pasteur. Nous croyons que l’Église est nécessaire au salut, car le Christ qui est seul médiateur et voie de salut se rend présent pour nous dans son Corps qui est l’Église. Mais le dessein divin du salut embrasse tous les hommes ; et ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Evangile du Christ et son Église mais cherchent Dieu sincèrement et, sous l’influence de la grâce, s’efforcent d’accomplir sa volonté reconnue par les injonctions de leur conscience, ceux-là, en un nombre que Dieu seul connaît, peuvent obtenir le salut.


LE CORPS ET LE SANG DU SEIGNEUR

Nous croyons que la messe célébrée par le prêtre représentant la personne du Christ en vertu du pouvoir reçu par le sacrement de l’ordre, et offerte par lui au nom du Christ et des membres de son Corps mystique, est le sacrifice du calvaire rendu sacramentellement présent sur nos autels. Nous croyons que, comme le pain et le vin consacrés par le Seigneur à la Sainte Cène ont été changés en son Corps et son Sang qui allaient être offerts pour nous sur la croix, de même le pain et le vin consacrés par le prêtre sont changés au corps et au sang du Christ glorieux siégeant au ciel, et Nous croyons que la mystérieuse présence du Seigneur, sous ce qui continue d’apparaître à nos sens de la même façon qu’auparavant, est une présence vraie, réelle et substantielle. Le Christ ne peut être ainsi présent en ce sacrement autrement que par le changement en son corps de la réalité elle-même du pain et par le changement en son sang de la réalité elle-même du vin, seules demeurant inchangées les propriétés du pain et du vin que nos sens perçoivent. Ce changement mystérieux, l’Église l’appelle d’une manière très appropriée transsubstantiation. Toute explication théologique, cherchant quelque intelligence de ce mystère, doit pour être en accord avec la foi catholique, maintenir que, dans la réalité elle-même, indépendante de notre esprit, le pain et le vin ont cessé d’exister après la consécration, en sorte que c’est le corps et le sang adorables du Seigneur Jésus qui dès lors sont réellement devant nous sous les espèces sacramentelles du pain et du vin, comme le Seigneur l’a voulu, pour se donner à nous en nourriture et pour nous associer à l’unité de son Corps mystique. L’unique et indivisible existence du Seigneur glorieux au ciel n’est pas multipliée, elle est rendue présente par le sacrement dans les multiples lieux de la terre où la messe est célébrée. Et elle demeure présente, après le sacrifice, dans le Saint Sacrement, qui est, au tabernacle, le cœur vivant de chacune de nos églises. Et c’est pour nous un devoir très doux d’honorer et d’adorer dans la sainte hostie, que nos yeux voient, le Verbe incarné qu’ils ne peuvent pas voir et qui, sans quitter le ciel, s’est rendu présent devant nous.


ROYAUME DE DIEU ET CIVILISATION

Nous confessons que le royaume de Dieu commencé ici-bas en l’Église du Christ n’est pas de ce monde, dont la figure passe, et que sa croissance propre ne peut se confondre avec le progrès de la civilisation, de la science ou de la technique humaines, mais qu’elle consiste à connaître toujours plus profondément les insondables richesses du Christ, à espérer toujours plus fortement les biens éternels, à répondre toujours plus ardemment à l’amour de Dieu, à dispenser toujours plus largement la grâce et la sainteté parmi les hommes. Mais c’est ce même amour qui porte l’Église à se soucier constamment du vrai bien temporel des hommes. Ne cessant de rappeler à ses enfants qu’ils n’ont pas ici-bas de demeure permanente, elle les presse aussi de contribuer, chacun selon sa vocation et ses moyens, au bien de leur cité terrestre, de promouvoir la justice, la paix et la fraternité entre les hommes, de prodiguer leur aide à leurs frères, surtout aux plus pauvres et aux plus malheureux. L’intense sollicitude de l’Église, épouse du Christ, pour les nécessités des hommes, leurs joies et leurs espoirs, leurs peines et leurs efforts, n’est donc rien d’autre que son grand désir de leur être présente pour les illuminer de la lumière du Christ et les rassembler tous en lui, leur unique Sauveur. Elle ne peut signifier jamais que l’Eglise se conforme elle-même aux choses de ce monde, ni que diminue l’ardeur de l’attente de son Seigneur et du royaume éternel.


LES VIVANTS ET LES MORTS

Nous croyons à la vie éternelle. Nous croyons que les âmes de tous ceux qui meurent dans la grâce du Christ, soit qu’elles aient encore à être purifiées au purgatoire, soit que dès l’instant où elles quittent leur corps, Jésus les prenne au paradis comme il a fait pour le bon larron, sont le peuple de Dieu dans l’au-delà de la mort, laquelle sera définitivement vaincue le jour de la résurrection où ces âmes seront réunies à leur corps. Nous croyons que la multitude de celles qui sont rassemblées autour de Jésus et de Marie au paradis forme l’Église du ciel, où dans l’éternelle béatitude elles voient Dieu tel qu’il est et où elles sont aussi, à des degrés divers, associées avec les saints anges au gouvernement divin exercé par le Christ en gloire, en intercédant pour nous et en aidant notre faiblesse par leur sollicitude fraternelle.

Nous croyons à la communion de tous les fidèles du Christ, de ceux qui sont pèlerins sur la terre, des défunts qui achèvent leur purification, des bienheureux du ciel, tous ensemble formant une seule Église, et Nous croyons que dans cette communion l’amour miséricordieux de Dieu et de ses saints est toujours à l’écoute de nos prières, comme Jésus nous l’a dit : Demandez et vous recevrez. Aussi est-ce avec foi et dans l’espérance que Nous attendons la résurrection des morts et la vie du monde à venir.

Béni soit le Dieu trois fois saint. Amen.

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Mar 15 Oct 2019 - 17:55
Jésus



Jésus dit Jésus de Nazareth (8–4 av.-J.C. — 30–33 apr.-J.C.) et appelé également Jésus-Christ par les chrétiens (grec: Ιησούς Χριστός (Iesous Christos), (Jésus vient de l'hébreu : ישו - yešū signifiant Dieu est salut, et Christ est la traduction grecque du terme hébreu « Messie » (משיח - machiakh), celui qui est oint) est le personnage central du christianisme ; il est considéré par les chrétiens comme le Messie et le Fils de Dieu (vrai Dieu et vrai homme, en une seule personne). Les catholiques, les protestants et les orthodoxes le célèbrent religieusement, et même l'adorent en tant que Dieu (deuxième personne de la Trinité) ; d'autres courants chrétiens le célèbrent religieusement en développant des croyances plus variées. Les musulmans le considèrent comme le dernier grand prophète avant Mahomet. 

Résumé de la vie de Jésus 

D'après les Évangiles, Jésus serait né dans le village de Bethléem. Le recensement des populations sous occupation romaine ayant été ordonné par un édit de César Auguste, Marie, mère de Jésus, et son époux Joseph, furent contraints de rejoindre leur village d'origine. La naissance de Jésus à Bethléem accomplirait parfaitement la prophétie de Michée ; certains pensent que cette affirmation serait surtout symbolique, car Bethléem, en hébreu la maison du pain, est réputée « ville de David » où le Messie doit naître. 

Selon les évangiles de Matthieu et de Luc, cette naissance aurait eu lieu durant la dernière année du règne de Hérode Ier le Grand, soit 4 ans avant l'ère qui porte son nom (il est cependant précisé dans l'Évangile de Luc que cette naissance a lieu durant un recensement. Le seul connu à cette époque est celui de Quirinius, qui a eu lieu en l'an 7 av.-J.C.), et mort à Jérusalem en l'an 30 ou 33, crucifié sous le mandat du procurateur Ponce Pilate. 

Les évangiles rapportent : 

La naissance virginale dans le prologue de deux des quatre évangiles (Matthieu et Luc). Ces prologues sont estimés, par une partie des spécialistes, plus tardifs que le reste du texte (mais sans preuve philologique). Les évangiles mentionnent également la correspondance du récit de sa naissance avec plusieurs prophéties de l'Ancien Testament. 
Sa transfiguration entre Moïse et Élie (dans l'évangile selon Marc). L'apparition des personnages de Moïse et de Élie est considérée par certains comme hautement symbolique. Moïse est un fondateur de religion et Élie est à l'époque le prophète le plus aimé du judaïsme. Élie est également réputé n'avoir pas connu la mort, être monté aux cieux de son vivant et devoir revenir en même temps que le Messie. Ce fut également, toujours selon l'Ancien Testament, le sort d'Enoch. 
Sa Passion, c'est-à-dire ses souffrances et sa mort sur la croix (instrument de supplice) ; 
Sa Résurrection constatée au matin de Pâques ; 
Son Ascension (c'est-à-dire l'enlèvement de son corps au ciel). 

Représentation de Jésus-Christ selon la doctrine catholique du Sacré-Cœur de Jésus-Christ. Les quatre évangélistes font le lien avec quelques passages des prophètes des siècles antérieurs (notamment dans le livre d'Isaïe et les Psaumes) comme annonce de la passion et de la résurrection de Jésus, et de son rôle de Messie. 

Les Actes des Apôtres rapportent : 

La Pentecôte, 50 jours après Pâques, à la suite de laquelle les apôtres commencent la diffusion intensive de son message ; 
Les débuts de l'Église et de son expansion. 
Beaucoup de miracles sont aussi attribués à Jésus, essentiellement des guérisons d'aveugles, de sourds, de lépreux et de paralytiques. En outre, plusieurs résurrections lui sont attribuées : celle de l'esclave d'un centurion romain, celle du fils unique d'une veuve de la ville de Naïn, celle de la fille d'un nommé Jaïrus, et celle de Lazare, son ami, frère de Marthe et Marie.

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Mar 15 Oct 2019 - 17:55
Absolution des Templiers

Après plus de 700 ans, le Vatican a reçut un ordre qui se déclare héritier des Templiers. ll s'agit de L' ORDRE SOUVRAIN ET MILITAIRE DU TEMPLE DE JÉRUSALEM. Le Vatican fut alors informé d'une découverte documentaire très importante à travers laquelle on démontre que le Pape Clément V avait absout tous les dignitaires jugés du temple. 

Maleureusement bien que le pardon avait été envoyé au château de chinon oû se trouvaient les détenus, le roi Philippe IV n'en tint pas compte et fit appliquer la sentence de mort au bûcher dictée contre Jacques de Molay et les autre chefs Templiers. 


Traduction en français du deuxiéme paragraphe du document copier sur le site.

Le document contient l'absolution du pape Clément V donné au Vénérable maitre du Temple, Jacques de Molay et aux autres têtes de l'Ordre, après s'être repentis et d'avoire demandés d'être pardonné par l'Eglise ; après l'abjuration formelle, qui oblige tout ceux qui ont été soupçonnés de crimes hérétiques, les membres principaux de l'Ordre Templier sont réintégrés dans La Communion catholique et réadmis pour recevoir les sacrements. Le Pape Clément V était convaincu de pouvoir garantir la survie de l'ordre militaire-religieux, rencontre le besoin apostolique d'enlever l'honte d'excommunication des frères guerrier, causés par leur reniment précédent de Jésus Christ quand il était torturé par l'Inquisiteur français. Comme plusieurs sources contemporaines le confirment, le Pape a vérifié que les Templiers ont été impliqués dans quelques formes sérieuses d'immoralité et il a planifié une réforme radicale de l'ordre par la suite pour le fusionner avec un autre ordre militaire-religieux important du nom des Hospitallers. L'Acte de Chinon, qui absout les Templiers, mais ne les décharge pas, était la supposition pour exigé d'exécuter la réforme, mais il est resté une lettre morte. La monarchie française réagie en déclenchant un vrai mécanisme de chantage, qui a exhorté alors Clément V d' atteindre le compromis ambigu ratifié pendant le Conseil de Vienne en 1312 : incapable de s'opposer au Roi de France, Phillipe IV, qui a imposé l'élimination des Templiers, le pape a enlevé l'ordre de la réalité de cette période, sans le condamner ou l'abolissant, mais l'isolant dans un genre d'hibernation, grâce à un appareil astucieux de la loi canon. Après avoir déclaré explicitement que le procès n'a pas prouvé la charge d'hérésie, Clément V a suspendu l'Ordre du Temple au moyen d'une loi canonique qui enpéchait une suprésion définitive. Cette démarche du Pape était imposée par la nécessité d' éviter un danger sérieux à l'Eglise qui interdisait, sous peine de l'excommunication, l'utilisation de leur nom ou de leurs symboles distinctifs.


1)- Le document contient l'absolution du pape Clément V donné au Vénérable maitre du Temple, Jacques de Molay et aux autres têtes de l'Ordre, après s'être repentis et d'avoire demandés d'être pardonné par l'Eglise ; après l'abjuration formelle, qui oblige tout ceux qui ont été soupçonnés de crimes hérétiques, les membres principaux de l'Ordre Templier sont réintégrés dans La Communion catholique et réadmis pour recevoir les sacrements. 

- Les Templier reconu coupable de crime hérétique ont eu automatiquement la sanction d'excomunication qui empêche la reception des sacrement par l'Église Catholique. Les Templier était les chevalier du Christ. ll devait se trouver en état de grâce pour le recevoir. Heureusement, le Pape Clément V leur a donné l'absolusion. C'est une bénédiction pour eux. 
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(2)- Le Pape Clément V était convaincu de pouvoir garantir la survie de l'ordre militaire-religieux, rencontre le besoin apostolique d'enlever l'honte d'excommunication des frères guerrier, causés par leur reniment précédent de Jésus Christ quand il était torturé par l'Inquisiteur français. 

- Les Templiers ont avoué avoire renier Jésus Christ par la torture. Dans se contexte cela ne peut étre valabe dans un procès. Donc un procé politique inquisitorial qui fait un innocent un coupable ce n'est pas légitime. 
Les tortures auxquelles ils furent soumis pour les faire confesser était tellement cruelles que la plupart dit ce que les accusateurs voulaient entendre. 
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(3)- Comme plusieurs sources contemporaines le confirment, le Pape a vérifié que les Templiers ont été impliqués dans quelques formes sérieuses d'immoralité et il a planifié une réforme radicale de l'ordre par la suite pour le fusionner avec un autre ordre militaire-religieux important du nom des Hospitallers. 

- A mon avie il est posible que l'ordre avait une face cachée et une règle secrète interdit aux non inités. Et de la, la dévience de quelque templiers impliquer dans quelque forme sérieuses d'immoralité. Mait cela restera toujour une question énigmatique. 
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(4)- L'Acte de Chinon, qui absout les Templiers, mais ne les décharge pas, était la supposition pour exigé d'exécuter la réforme, mais il est resté une lettre morte. La monarchie française réagie en déclenchant un vrai mécanisme de chantage, qui a exhorté alors Clément V d' atteindre le compromis ambigu ratifié pendant le Conseil de Vienne en 1312 : 

- Éfectivement le Pape Clément V était convaincu de pouvoir garantir la survie de l'ordre militaire-religieux par l'absolution des Templiers et une réforme radicale de l'ordre par l'acte de Chinon. C'est la monarchie française représenter par le roi Philipe le Bel qui n'ont pas donné suite a la volonté du Pape. C'est pour cela que l'acte de Chino est resté une lettre morte. 
------------------------------------------------------------------------------------- 
(5)- incapable de s'opposer au Roi de France, Phillipe IV, qui a imposé l'élimination des Templiers, le pape a enlevé l'ordre de la réalité de cette période, sans le condamner ou l'abolissant, mais l'isolant dans un genre d'hibernation, grâce à un appareil astucieux de la loi canon. 

- Citation: Le pape a enlevé l'ordre de la réalité de cette période, sans le condamner ou l'abolissant, mais l'isolant dans un genre d'hibernation. 

Donc au plan Éclésiastique l'ordre du temple (Templier) N'est pas abolie. 
------------------------------------------------------------------------------------- 
(6)- Après avoir déclaré explicitement que le procès n'a pas prouvé la charge d'hérésie, Clément V a suspendu l'Ordre du Temple au moyen d'une loi canonique qui enpéchait une suprésion définitive. Cette démarche du Pape était imposée par la nécessité d' éviter un danger sérieux à l'Église qui interdisait, sous peine de l'excommunication, l'utilisation de leur nom ou de leurs symboles distinctifs Cette démarche du Pape était imposée par la nécessité d' éviter un danger sérieux à l'Église qui interdisait, sous peine de l'excommunication, l'utilisation de leur nom ou de leurs symboles distinctifs. 

- Citation: Après avoir déclaré explicitement que le procès n'a pas prouvé la charge d'hérésie, Clément V a suspendu l'Ordre du Temple au moyen d'une loi canonique qui empéchait une suprésion définitive. 

Clément V a suspendu l'ordre du temple. Une suspension n'est pas une suppression. c'est une interruption pour quelque temps. 
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Conclusion: Une place de choix dans l'histoire sera réservée a l'ordre du temple. Le procès de réhabilitation des templiers reste à faire.
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