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Le Concile de Nicée, 20 mai 325 Empty Le Concile de Nicée, 20 mai 325

Jeu 26 Sep 2019 - 13:42
Le Concile de Nicée, 20 mai 325

En 325 après J-C, le Concile de Nicée à lieu. L'empereur Constantin, "un païen", décide de trancher sur la divinité de Jésus. Est il fils de Dieu ou non ? 

Il adopte le commencement du concept de la "Trinité" en passant par une sorte de "Binité" non-biblique.

Le 25 décembre, on fêtera la naissance de Jésus, lune fête de Pâques qui n'a rien à voir avec le véritable christianisme biblique...

Cet empereur avait fait tué sa femme et son enfant (pour une raison inconnue) en les faisant bouillir vivants. 

Après que tout soit établie par ce Concile, il y a eu différents mouvements d'oppositions, notamment chez les chrétiens non-trinitaires, et les chrétiens unitariens. 

Le Concile de Nicée a été tenue par des hommes et selon leurs propres volontés, ils ont inventés "un nouveau christianisme" qui en réalité n'existe pas dans les Écritures. 

Plus tardivement, ils ont décrétés que la Trinité était véridique et trouvait sa source dans la Bible, ce qui est totalement faux !.


Le 20 mai 325 Au Concile de Nicée, l’empereur romain Constantin institutionnalise l’Église. 


Avant ce Concile, le christianisme est constitué de communautés locales se réunissant en assemblées (ecclesia) autonomes de fidèles, dirigées chacune par un évêque (episcopos). Les croyances et rites sont divers. Ces groupes ont plus ou moins rompu avec le judaïsme. Il n’existe donc pas d’Église primitive mais un christianisme primitif avant son unification et son institutionnalisation au Concile de Nicée.

En 324, Constantin réunifie formellement l’empire romain par sa victoire sur Licinius à Andrinople. Cependant, les dissensions profondes entre tendances du christianisme constituent un ferment permanent de discorde (en particulier la querelle de l’arianisme). Pour souder l’empire au plan religieux comme au plan politique et militaire, l’empereur convoque toutes les communautés au Concile oecuménique de Nicée (actuellement en Turquie sur la rive orientale du Bosphore). Ce rôle de Constantin dans la tenue du concile est évident puisqu’il le convoque, en fixe les modalités et en préside de nombreuses séances. Le pape n’est pas présent.

Constance Chlore avait protégé les chrétiens lors de la persécution de Dioclétien. Son fils Constantin se serait converti au christianisme lors de la bataille du pont Milvius en 312. Cette décision n’a pas été rendue publique ; pourtant il convoque un concile dès 313 pour condamner les donatistes qui mettent en danger les classes dominantes de l’empire. De 313 à 325, le christianisme accepte d’être sous la coupe de l’empereur et en profite largement. Si le concile de 313 avait pour but de réduire les donatistes, celui de 325 est réuni afin de réduire les disciples d’Arius pour qui le Fils (Jésus) est subordonné au Père, seul vrai Dieu.

Un problème théologique majeur divisait les chrétiens : s’il n’est qu’un seul Dieu tout-puissant, quel est le statut de Jésus-Christ, fils de Dieu ?

Du 20 mai au 25 juillet 325, Constantin impose plusieurs clarifications pour commencer à installer (le christianisme comme Religion Unifiante d’État).

Le principal débat porte sur la nature divine ou pas de Jésus par rapport à Dieu le Père (Arius est présent dans les débats). En affirmant l’unité et la consubstantialité des trois Personnes de la Sainte Trinité : Père, Fils et Saint-Esprit, le Concile de Nicée établit un dogme fondamental du christianisme.

Profession de foi :

Je crois en un seul Dieu. Je crois en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles. Il est Dieu, né de Dieu, Lumière née de la Lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu, engendré non pas créé, de même nature que le Père, et par Lui tout a été fait

Quelle complexité et quelles contradictions ! Dieu s’est-il incarné en Jésus pour "rejoindre l’homme par l’humanité concrète de Jésus" ? Dieu a-t-il épousé la nature humaine pour guérir l’homme du péché, se rendre accessible à lui par la foi ? Si oui, Jésus et Dieu sont la même personne "née avant tous les siècles" ; mais alors Dieu n’a pu devenir un "vrai homme", né de la Sainte Vierge, mort sur la croix en invoquant son Père puis ressuscité.

La date de Pâques, résurrection de Jésus après son calvaire sur la croix, est fixée au premier dimanche après la pleine lune de printemps. Longtemps, des communautés chrétiennes primitives ont fêté à Pâque (pleine lune de printemps) le sacrifice de l’agneau symbolique, héritage du judaïsme.

Le Concile valide la sanction d’excommunication et en étend la portée par l’anathème, sorte d’excommunication universelle...

Le Concile établit une sorte de hiérarchie institutionnelle


Enfin, le Concile unifie le dogme par le Credo :

Nous croyons en un seul Dieu,

le Père tout Puissant,

Créateur de toutes choses

visibles et invisibles,

et en un seul

Seigneur Jésus Christ,

le Fils unique,

c’est-à-dire, le Fils de Dieu,

né du Père

comme Fils unique,

c’est-à-dire né

de la substance du Père,

Dieu né de Dieu,

lumière née

de la lumière,

vrai Dieu né

du vrai Dieu,

engendré, non pas créé,

consubstantiel au Père,

par qui tout a été fait,

ce qui est au ciel

et ce qui est sur la terre,

qui, pour nous les hommes,

et pour notre salut,

est descendu

et a pris chair,

s’est fait homme,

a souffert et

est ressuscité

le troisième jour,

est remonté aux cieux,

d’où il viendra juger

les vivants et les morts,

et dans le Saint-Esprit.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:42
20 mai 325

Le concile de Nicée condamne l'arianisme

Tandis que le christianisme étend son emprise sur l'empire romain, un prêtre d'Alexandrie nommé Arius se met à prêcher une doctrine hétérodoxe. Bien qu'excommunié, c'est-à-dire exclu de l'Église, il poursuit avec un certain succès sa prédication.

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Les chrétiens divisés

L'empereur Constantin 1er craint un schisme qui mettrait à mal l'unité de l'empire. Pour l'éviter, il convoque le 20 mai 325 un concile oecuménique (ou universel) à Nicée (aujourd'hui Iznik, à 50 km de Bursa, sur la façade orientale du Bosphore).

Pour la première fois, les chefs élus de toutes les communautés chrétiennes, soit 220 évêques, se trouvent réunis. Mais sur ce total, on ne compte que 5 évêques latins venus d'Occident et parmi les grands absents figure l'évêque de Rome (le pape).

Les partisans d'Arius professent que Jésus, fils de Dieu, est subordonné à son créateur, de même que le Saint Esprit. Ils le considèrent comme un relais existant de toute origine entre Dieu et l'humanité. Cette explication philosophique plaît à beaucoup de théologiens de culture grecque.

Les opposants font, eux, valoir que le Fils est consubstantiel au Père, c'est-à-dire «ayant la même essence». Constantin leur accorde la victoire et condamne l'arianisme.

Toutefois, les Barbares qui vont agresser l'empire romain se laissent, eux, séduire par l'hérésie... à l'exception notable des Francs de Clovis, baptisés dans la même religion que leurs sujets gallo-romains.

Notons que la liturgie catholique conserve le souvenir de ces débats en offrant à chaque messe le choix entre le Credo traditionnel («Symbole des Apôtres») et une autre prière qui met l'accent sur la consubstantialité du Père et du Fils («Symbole de Nicée»).
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:43
Concile de Nicée en 325 

LE SYMBOLE DE NICÉE

«Je crois en un seul Dieu, le Père tout puissant, créateur du ciel et de la terre, de l'univers visible et invisible. 
Je crois en un seul Seigneur, Jésus Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles: 
Il est Dieu, né de Dieu, lumière, né de la lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu. 
Engendré non pas créé, de même nature que le Père; et par lui tout a été fait. 
Pour nous les hommes, et pour notre salut, il descendit du ciel; Par l'Esprit Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s'est fait homme. 
Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, Il souffrit sa passion et fut mis au tombeau. 
Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et il monta au ciel; il est assis à la droite du Père. 
Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts et son règne n'aura pas de fin.

Je crois en l'Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie; il procède du Père et du Fils. 
Avec le Père et le Fils, il reçoit même adoration et même gloire; il a parlé par les prophètes. 
Je crois en l'Église, une, sainte, catholique et apostolique. 
Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés. 
J'attends la résurrection des morts, et la vie du monde à venir.

Pour ceux qui disent: " Il fut un temps où il n'était pas " et: " Avant de naître, il n'était pas " et : " Il a été créé du néant ", ou qui déclarent que le Fils de Dieu est d'une autre substance [hypostasis] ou d'une autre essence [ousia], ou qu'il est soumis au changement ou à l'altération, l'Église catholique et apostolique les anathématise.»
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:43
Concile de Constantinople 381

Le Symbole de Nicée Constantinople

«Nous croyons en un seul Dieu, 
le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, 
de toutes les choses visibles et invisibles.
Nous croyons en un seul Seigneur, 
Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, 
né du Père avant tous les siècles, Dieu venu de Dieu, 
lumière issu de la lumière, vrai Dieu issu du vrai Dieu, 
engendré et non créé, d'une même substance que le Père et par qui tout a été fait; 
qui pour nous les hommes et pour notre salut, est descendu des cieux 
et s'est incarné par le Saint- Esprit dans la vierge Marie et a été fait homme. 
Il a été crucifié pour nous sous Ponce-Pilate, il a souffert et il a été mis au tombeau ; 
il est ressuscité des morts le troisième jour, conformément aux Écritures; 
il est monté aux cieux où il siège à la droite du Père. 
De là, il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin.

Nous croyons en l'Esprit-Saint, qui règne et qui donne la vie, qui procède du Père, 
qui a parlé par les Prophètes, qui avec le Père et le Fils est adoré et glorifié; 
nous croyons l'Église une, sainte, universelle et apostolique. 
Nous confessons un seul baptême pour la rémission des péchés; 
nous attendons la résurrection des morts et la vie du monde à venir.

Si quelqu'un ne confesse pas deux naissances du Fils de Dieu, 
l'une avant les siècles, du Père, intemporelle et incorporelle, 
l'autre, aux derniers jours, de celui même qui, descendu du Ciel, 
s'est incarné dans Marie sainte et glorieuse, mère de Dieu toujours vierge, et qui est né d'elle, qu'il soit anathème
Amen.»
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:43
Adopté à la fin du Concile de Chalcédoine, le 22 octobre 451

Le Symbole de Chalcédoine 451

«Avant les siècles engendré du Père selon la divinité, et, né en ces derniers jours, né pour nous et pour notre salut, de Marie, la Vierge, mère de Dieu, selon l'humanité.
Un seul et même Christ Seigneur, Fils unique, que nous devons reconnaître en deux natures, sans confusion, sans changement, sans division, sans séparation.

la différence de natures n'étant pas supprimées à cause de l'union, la propriété de l'une et de l'autre étant bien plutôt sauvegardée et concourant à une seule personne et une seule hypostase, un Christ ne se fractionnant ni se divisant en deux personnes mais un seul et même Fils.»

.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:44
le concile de Rome en 382 sous la présidence du pape Damase 

Adopté à la fin de ce concile 

Le Tome de Damase

"Quiconque nie que le Père est éternel, que le Fils est éternel et que le Saint-Esprit est éternel, celui-là est un hérétique."

"Quiconque nie que le Fils de Dieu est véritablement Dieu, de même que le Père est véritablement Dieu, ayant tout pouvoir, sachant tout et l'égal du Père, celui-là est un hérétique."

"Quiconque nie que le Saint-Esprit (...) est Père, véritablement Dieu , (...) a tout pouvoir et sait tout, (...) celui-là est un hérétique."

"Quiconque nie que les trois personnes: le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont véritablement des personnes, qu'elles sont égales, éternelles, contenant toutes choses visibles et invisibles, et qu'elles sont toutes-puissantes, (...) celui-là est un hérétique."

"Quiconque dit que [le Fils qui a été] fait chair n'était pas au ciel avec le Père lorsqu'il était sur la terre, celui-là est un hérétique."

"Quiconque, reconnaissant que le Père est Dieu, que le Fils est Dieu et que le Saint-Esprit est Dieu, (...) ne dit pas qu'ils sont un seul Dieu, (...) celui-là est un hérétique ."



Document, appelé 'le Tome de Damase', rapporté dans l'ouvrage: L'Église enseigne, 1955, pages 125 à 127

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Jeu 26 Sep 2019 - 13:44
Ce dessin appelé symbole d'Athanase accompagne le "Credo Athanasien"  qui est une déclaration de doctrine Chrétienne traditionnellement attribuée à saint Athanase, évêque et pape d'Alexandrie, qui vécut au 4ème siècle

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CREDO DE SAINT ATHANASE

Quiconque veut être sauvé doit, avant tout, tenir la foi catholique : s'il ne la garde pas entière et pure, il périra sans aucun doute pour l'éternité.

Voici la foi catholique : nous vénérons un Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l'Unité, sans confondre les Personnes ni diviser la substance : autre est en effet la Personne du Père, autre celle du Fils, autre celle du Saint-Esprit ; mais une est la divinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit, égale la gloire, coéternelle la majesté.

Comme est le Père, tel est le Fils, tel est aussi le Saint-Esprit : incréé est le Père, incréé le Fils, incréé le Saint-Esprit ; infini est le Père, infini le Fils, infini le Saint-Esprit ; éternel est le Père, éternel le Fils, éternel le Saint-Esprit ; et cependant, ils ne sont pas trois éternels, mais un éternel ; tout comme ils ne sont pas trois incréés, ni trois infinis, mais un incréé et un infini. De même, tout-puissant est le Père, tout-puissant le Fils, tout-puissant le Saint-Esprit ; et cependant ils ne sont pas trois tout-puissants, mais un tout-puissant. Ainsi le Père est Dieu, le Fils est Dieu, le Saint-Esprit est Dieu ; et cependant ils ne sont pas trois Dieux, mais un Dieu. Ainsi le Père est Seigneur, le Fils est Seigneur, le Saint-Esprit est Seigneur ; et cependant ils ne sont pas trois Seigneurs, mais un Seigneur ; car, de même que la vérité chrétienne nous oblige à confesser que chacune des personnes en particulier est Dieu et Seigneur, de même la religion catholique nous interdit de dire qu'il y a trois Dieux ou trois Seigneurs.

Le Père n'a été fait par personne et il n'est ni créé ni engendré ; le Fils n'est issu que du Père, il n'est ni fait, ni créé, mais engendré ; le Saint-Esprit vient du Père et du Fils 
[*], il n'est ni fait, ni créé, ni engendré, mais il procède.

[*] Il n'y a donc qu'un Père, non pas trois Pères ; un Fils, non pas trois Fils ; un Saint-Esprit, non pas trois Saints-Esprits. Et dans cette Trinité il n'est rien qui ne soit avant ou après, rien qui ne soit plus grand ou plus petit, mais les Personnes sont toutes trois également éternelles et semblablement égales. Si bien qu'en tout, comme on l'a déjà dit plus haut, on doit vénérer, et l'Unité dans la Trinité, et la Trinité dans l'Unité. Qui donc veut être sauvé, qu'il croie cela de la Trinité.

Mais il est nécessaire au salut éternel de croire fidèlement aussi à l'incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ. Voici la foi orthodoxe : nous croyons et nous confessons que notre Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, est Dieu et homme. Il est Dieu, de la substance du Père, engendré avant les siècles, et il est homme, de la substance de sa mère, né dans le temps ; Dieu parfait, homme parfait composé d'une âme raisonnable et de chair humaine, égal au Père selon la divinité, inférieur au Père selon l'humanité. Bien qu'il soit Dieu et homme, il n'y a pas cependant deux Christ, mais un Christ ; un, non parce que la divinité a été transformée en la chair, mais parce que l'humanité a été assumée en Dieu ; un absolument, non par un mélange de substance, mais par l'unité de la personne. Car, de même que l'âme raisonnable et le corps font un homme, de même Dieu et l'homme font un Christ. Il a souffert pour notre salut, il est descendu aux enfers, le troisième jour il est ressuscité des morts, il est monté aux cieux, il siège à la droite du Père, d'où il viendra juger les vivants et les morts. A sa venue, tous les hommes ressusciteront avec leurs corps et rendront compte de leurs propres actes : ceux qui ont bien agi iront dans la vie éternelle, ceux qui ont mal agi, au feu éternel. Telle est la foi catholique : si quelqu'un n'y croit pas fidèlement et fermement, il ne pourra être sauvé."



Il fut composé pour lutter contre l'Arianisme. Liturgiquement, ce Credo était récité à l'Office de Prime le dimanche dans l'Église d'Occident; il n'est pas d'usage courant dans l'Église d'Orient. De nos jours, il est même rarement utilisé dans l'Église de Rome. Lorsqu'il l'est, la pratique habituelle est de l'utiliser le Dimanche de la Trinité.


Il fut composé pour lutter contre l'Arianisme. Liturgiquement, ce Credo était récité à l'Office de Prime le dimanche dans l'Église d'Occident; il n'est pas d'usage courant dans l'Église d'Orient. De nos jours, il est même rarement utilisé dans l'Église de Rome. Lorsqu'il l'est, la pratique habituelle est de l'utiliser le Dimanche de la Trinité.


Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Définition Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales


TRINITÉ, subst. fém.


A. − [Avec majuscule]


[THÉOL. CHRÉT. Union des trois personnes divines ; Dieu, considéré dans son mode d'existence en trois personnes distinctes et consubstantielles, unies dans une seule et indivisible nature éternelle. Les trois personnes de la (Sainte) Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit; dogme, mystère de la (Sainte) Trinité. Hilaire de Poitiers (mort en 367) fut surtout le champion occidental de l'antiarianisme.


La doctrine orthodoxe de la Trinité fut pour la première fois exposée dans son De Trinitate (Hist. des relig., t. 2, 1972, p. 771 [Encyclop. de la Pléiade]).V. hypostase II B ex. de Huysmans: La mystique cistercienne est tout entière suspendue à une théologie de la Trinité, dont l'idée centrale paraît être que Dieu lui-même vit d'une loi et que la loi qui régit la vie intime de Dieu est l'amour. Le Père engendre le Fils et le lien qui unit le Fils au Père, comme il unit le Père au Fils, est l'Esprit, qui est leur amour mutuel. Gilson, Esprphilos. médiév., 1931, p. 93.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:45
Le symbole de Nicée-Constantinople


Nous croyons en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre,

de toutes les choses visibles et invisibles ;

et en un seul Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, engendré du

Père avant tous les siècles,

lumière de lumière,

vrai Dieu de vrai Dieu,

engendré, non créé,

consubstantiel au Père,

par qui tout a été fait.

Pour nous, les hommes, et pour notre salut, il est descendu des cieux ;

par le Saint-Esprit il s'est incarné de la Vierge Marie, et s'est fait homme ;

il a été crucifié pour nous sous Ponce Pilate ;

il a souffert ; il a été enseveli ; il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures,

il est monté aux cieux ; il siège à la droite du Père et il reviendra en gloire juger les vivants et les morts,

lui dont le règne n'aura pas de fin ;

et en l'Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui vivifie ;

qui procède du Père et du Fils ;

qui ensemble avec le Père et le Fils est adoré et glorifié ;

qui a parlé par les prophètes ;

en une seule Eglise sainte, catholique et apostolique.

Nous confessons un seul baptême pour la rémission des péchés.

Nous attendons la résurrection des morts et la vie du siècle à venir. Amen.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:45
Le symbole des Apôtres

Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre.

Je crois en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, et qui est né de la Vierge Marie.

Il a souffert sous Ponce Pilate, il a été crucifié, il est mort et il a été enseveli,

il est descendu aux enfers. Le troisième jour il est ressuscité des morts, il est monté aux cieux.

Il siège à la droite de Dieu, le Père tout-puissant, et il viendra de là juger les vivants et les morts.

Je crois en l'Esprit-Saint ;

je crois la sainte Église universelle, la communion des saints, la rémission des péchés, la résurrection de la chair et la vie éternelle. Amen.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:46
Le symbole d'Athanase

Quiconque veut être sauvé doit, avant tout, tenir la foi catholique :

s'il ne la garde pas entière et pure, il périra sans aucun doute pour l'éternité.

Voici la foi catholique :

nous vénérons un Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l'Unité,

sans confondre les Personnes ni diviser la substance :

autre est en effet la Personne du Père,

autre celle du Fils,

autre celle du Saint-Esprit ;

mais une est la divinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit, égale la gloire, coéternelle la majesté.

Comme est le Père, tel est le Fils, tel est aussi le Saint-Esprit :

incréé est le Père, incréé le Fils, incréé le Saint-Esprit ;

infini est le Père, infini le Fils, infini le Saint-Esprit ;

éternel est le Père, éternel le Fils, éternel le Saint-Esprit ;

et cependant, ils ne sont pas trois éternels, mais un éternel ;

tout comme ils ne sont pas trois incréés, ni trois infinis, mais un incréé et un infini.

De même, tout-puissant est le Père, tout-puissant le Fils, tout-puissant le Saint-Esprit ;

et cependant ils ne sont pas trois tout-puissants, mais un tout-puissant.

Ainsi le Père est Dieu, le Fils est Dieu, le Saint-Esprit est Dieu ;

et cependant ils ne sont pas trois Dieux, mais un Dieu.

Ainsi le Père est Seigneur, le Fils est Seigneur, le Saint-Esprit est Seigneur ;

et cependant ils ne sont pas trois Seigneurs, mais un Seigneur ;

car, de même que la vérité chrétienne nous oblige à confesser que chacune des personnes en particulier est Dieu et Seigneur, de même la religion catholique nous interdit de dire qu'il y a trois Dieux ou trois Seigneurs.

Le Père n'a été fait par personne et il n'est ni créé ni engendré ;

le Fils n'est issu que du Père, il n'est ni fait, ni créé, mais engendré ;

le Saint-Esprit vient du Père et du Fils, il n'est ni fait, ni créé, ni engendré, mais il procède.

Il n'y a donc qu'un Père, non pas trois Pères ; un Fils, non pas trois Fils ; un Saint-Esprit, non pas trois Saints-Esprits.

Et dans cette Trinité il n'est rien qui ne soit avant ou après,

rien qui ne soit plus grand ou plus petit, mais les Personnes sont toutes trois également éternelles et semblablement égales.

Si bien qu'en tout, comme on l'a déjà dit plus haut, on doit vénérer, et l'Unité dans la Trinité, et la Trinité dans l'Unité.

Qui donc veut être sauvé, qu'il croie cela de la Trinité.

Mais il est nécessaire au salut éternel de croire fidèlement aussi à l'incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ.

Voici la foi orthodoxe : nous croyons et nous confessons que notre Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, est Dieu et homme.

Il est Dieu, de la substance du Père, engendré avant les siècles, et il est homme, de la substance de sa mère, né dans le temps ;

Dieu parfait, homme parfait composé d'une âme raisonnable et de chair humaine,

égal au Père selon la divinité, inférieur au Père selon l'humanité.

Bien qu'il soit Dieu et homme, il n'y a pas cependant deux Christ, mais un Christ ;

un, non parce que la divinité a été transformée en la chair, mais parce que l'humanité a été assumée en

Dieu ; un absolument, non par un mélange de substance, mais par l'unité de la personne.

Car, de même que l'âme raisonnable et le corps font un homme, de même Dieu et l'homme font un Christ.

Il a souffert pour notre salut, il est descendu aux enfers, le troisième jour il est ressuscité des morts, il est monté aux cieux, il siège à la droite du Père, d'où il viendra juger les vivants et les morts.

A sa venue, tous les hommes ressusciteront avec leurs corps et rendront compte de leurs propres actes : ceux qui ont bien agi iront dans la vie éternelle, ceux qui ont mal agi, au feu éternel.

Telle est la foi catholique : si quelqu'un n'y croit pas fidèlement et fermement, il ne pourra être sauvé.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:46
Concile de Nicée, Nicée (325)

Les deux conciles de Nicée ou Nicée étaient conciles œcuméniques de l'Église chrétienne qui s'est tenue à 325 et 787, respectivement. Le premier concile de Nicée, le Concile œcuménique abord occupé par l'église, est surtout connu pour sa formulation du Credo de Nicée, la première déclaration dogmatique de l'orthodoxie chrétienne. Le Conseil a été convoqué en 325 par l'empereur romain Constantin Ier dans une tentative de régler la controverse soulevée par l'arianisme, sur la nature de la Trinité. Presque tous ceux qui ont participé provenaient de la région de la Méditerranée orientale.

Il a été la décision du Conseil, formalisée dans le Credo de Nicée, que Dieu le Père et Dieu le Fils consubstantiel et coéternel ont été et que la croyance en un Christ Arian créé par et donc inférieur au Père était hérétique. Arius lui-même a été excommunié et banni. Le Conseil a également été importante pour ses décisions disciplinaires concernant le statut et la juridiction du clergé dans l'Église primitive et pour établir la date à laquelle Pâques est célébré.

Le deuxième Concile de Nicée, septième concile œcuménique de l'Église chrétienne, a été convoqué par l'impératrice byzantine Irène en 787 pour se prononcer sur l'utilisation des "images des saints et des icônes dans la dévotion religieuse. A cette époque, un fort mouvement connu sous le nom iconoclasme, qui s'oppose à la représentation picturale de saints ou de la Trinité, existait dans l'église grecque. Sous l'impulsion d'Irène, le Conseil a déclaré que, alors que la vénération des images était légitime et l'intercession des saints efficace, leur vénération doit être soigneusement distingué du culte en raison Dieu seul.

T Tackett

Bibliographie 
AE Burn, Le Concile de Nicée (1925); Forell G, Comprendre le Credo de Nicée (1965); EJ Martin, Une histoire de la controverse iconoclaste (1930).


Concile de Nicée ou Nicée (325)

Le Conseil œcuménique première dans l'histoire de l'église a été convoquée par l'empereur Constantin à Nicée en Bithynie (aujourd'hui Isnik, Turquie). Le principal objectif du Conseil était de tenter de guérir le schisme dans l'Église provoquée par l'arianisme. Ce qu'il ne procède à théologiquement et politiquement par l'unanimité de production près d'une confession théologique (le Credo de Nicée), par plus de trois cents évêques représentant presque toutes les provinces orientales de l'empire (où l'hérésie était surtout centré) et par une représentation symbolique de l'Ouest. Le credo ainsi produite a été le premier qui pouvait légalement prétendre autorité universelle telle qu'elle a été envoyé dans tout l'empire de recevoir l'accord des églises (avec les conséquences de remplacement de l'excommunication et le bannissement impérial).

La question qui a abouti à Nicée est née d'une tension non résolue au sein de l'héritage théologique d'Origène sur la relation du Fils au Père. D'une part il y a eu l'attribution de la divinité au Fils dans une relation avec le Père décrite comme la génération éternelle. D'un autre côté il y avait subordinatianisme clair. Près de façon appropriée, le différend a éclaté à Alexandrie, vers 318, avec Arius, un prêtre populaire du quartier de l'église Baucalis, le développement de la dernière souche de l'origénisme contre l'évêque Alexandre, qui a préconisé l'ancienne ligne de pensée. Arius était un logicien très capables qui ont attaqué Alexander (avec des motifs pas tout à fait scientifique) sur l'accusation de sabellianisme. Après un synode local entendu son propre point de vue et les renvoya et lui comme mal fondée, Arius démontré sa vulgarisation et politique talents littéraires, rassemblement de soutien au-delà d'Alexandrie.

Son point de vue théologique appel à gauche - origénistes aile, y compris le respect Eusèbe, évêque de Césarée. Son et le plus utile allié le plus proche a été son compagnon ancien élève de l'école de Lucien, Eusèbe, évêque à la résidence impériale de Nicomédie. Après Envoyé personnel Constantine, Hosius de Cordoue, a échoué à se réconcilier en 322 entre les deux parties à Alexandrie, l'empereur a décidé de convoquer un concile œcuménique.

L'enseignement de l'arianisme est bien documentée. L'idée centrale de contrôle est l'unique, incommunicable, indivisible, la nature transcendante de la divine être singulier. C'est ce que les Ariens dénommé le Père. Logiquement appuyant sur cette définition du Père et de l'utilisation du langage biblique certains, les ariens ont fait valoir que si l'erreur de Sabellius devait être évitée (et tout le monde avait hâte de les éviter), puis certaines conclusions à propos du Fils était incontournable. Et c'est ce point de vue du Fils qui est la signification centrale de l'arianisme. Il ne peut pas être du Père être ou l'essence (sinon, que l'essence serait divisible ou contagieuses ou de quelque manière unique ou simple, ce qui est impossible par définition). Il existe donc que par la volonté du Père, de même que toutes les autres créatures et les choses. La description biblique de son être engendré ne suppose pas une relation spéciale entre le Père et le Verbe ou le Fils, mais il ne peut pas être une relation ontologique.

"Fils" est à prendre dans le sens de «fait», de sorte que le Fils est un ktisma ou poiema, une créature. Etre né ou la prise, il faut qu'il ait eu un commencement, ce qui conduit à la fameuse phrase Arian, «il y avait quand il n'était pas." Depuis, il n'a pas été généré sur le Père de l'être et il était, comme on l'accorde, la première de la création de Dieu, alors il doit avoir été créé à partir de rien. N'étant pas de substance ou immuable parfait, il a été soumis au changement moral. Et à cause de la transcendance de Dieu extrêmes, dans le respect final le Fils n'a pas la communion réelle ou la connaissance du Père à tous. L'attribution de théos au Christ dans l'Écriture a été jugé purement fonctionnel.

Le Concile de Nicée a ouvert Juin 19, 325, avec Hosius de Cordoue président et l'empereur de la fréquentation. Malgré l'absence de procès-verbal une esquisse de la procédure peut être reconstruit. Après une allocution d'ouverture par l'empereur dans lesquels le besoin d'unité a été souligné, Eusèbe de Nicomédie, leader du parti arien, a présenté une formule de foi qui a marqué franchement un radical départ de formules traditionnelles. La réprobation était si forte que la plupart des parti arien abandonné leur appui au document et il a été mis en lambeaux sous les yeux de toutes les personnes présentes. Peu de temps après Eusèbe de Césarée, soucieux de laver son nom, a lu une longue déclaration de foi qui comprenait ce qui était probablement un symbole baptismal de l'église de Césarée. Eusèbe avait été provisoirement excommunié plus tôt dans l'année par un synode à Antioche pour avoir refusé de signer une anti - religion arienne. L'empereur lui-même prononcé lui orthodoxe avec seulement la suggestion selon laquelle il adopte le mot homoousios.

Pendant longtemps, la confession de Eusèbe était censée avoir été à la base du Credo de Nicée, qui a ensuite été modifié par le Conseil. Toutefois, il semble clair que tel n'était pas le cas, la structure et le contenu de celui-ci étant sensiblement différent du premier. Très probablement un symbole a été introduit sous la direction de Hosius, discuté (en particulier l'homoousie terme), et rédigé sous sa forme définitive nécessitant la signature des évêques. Toutes les personnes présentes (y compris Eusèbe de Nicomédie) ont signé, sauf deux qui ont ensuite été exilé.

Il convient de noter que cette croyance n'est pas celle qui est récitée dans les églises aujourd'hui comme le Credo de Nicée. Bien que semblable à bien des égards, celui-ci est nettement plus longue que la précédente et est absent des phrases-clés de Nicée.

La théologie exprimée dans le Credo de Nicée est résolument anti-arienne. Au début de l'unité de Dieu est affirmée. Mais le Fils est dit être «vrai Dieu né du vrai Dieu." Bien que confesser que le Fils est engendré, le credo ajoute les mots «du Père» et «pas fait." Il est positivement affirmé qu'il est "de l'être (ousia) du Père" et "d'une substance (homoousia) avec le Père." Une liste de phrases Arian, y compris «il y avait quand il n'était pas" et les affirmations que le Fils est une créature ou à partir de rien, sont expressément anathème. Ainsi, une ontologique que simplement fonctionnelle plutôt divinité du Fils a été confirmée à Nicée. La seule chose que l'Esprit avoué, cependant, est la foi en lui.

Entre autres résultats obtenus à Nicée ont été l'accord sur une date pour célébrer Pâques et une décision sur le schisme Melitian en Égypte. Arius et ses partisans les plus résolus ont été bannis, mais seulement pendant une courte période. Dans la majorité à Nicée a été Athanase, puis un jeune diacre, bientôt succéder à Alexandre comme évêque et continuer sur ce qui allait devenir un enjeu des minorités à une résurgence de l'arianisme en Orient. Toutefois, l'orthodoxie de Nicée finirait par être décisive et réaffirmé lors du Concile de Constantinople en 381.

CA Blaising 
(Évangélique Dictionary)

Bibliographie 
Athanase, de la défense du concile de Nicée; Eusèbe, la Vie de Constantin, Socrate, Histoire ecclésiastique; Sozomène, Histoire ecclésiastique; Théodoret, Histoire ecclésiastique; Burn AE, Le Concile de Nicée; J Gonzalez, Une histoire de la pensée chrétienne, I; HM Gwatkin, études de l'arianisme; Gregg RC et Groh DE, l'arianisme précoce; Un Grillmeier, le Christ dans la tradition chrétienne; JND Kelly, les cultes chrétiens précoce et doctrines chrétiennes; C Luibheid, Eusèbe de Césarée et de la crise arienne.
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Jeu 26 Sep 2019 - 13:47
Le premier concile général de Nicée, Nicée 325

Information avancée

Il est plus de seize cents ans que la première des Conseils généraux de l'Église remplies. Il en est ainsi depuis longtemps que les noms mêmes des lieux liés à son histoire ont disparu de connaissances communes et les atlas. Ils ont sur eux un air de la fabuleuse; Nicée, Bithynie, Nicomédie, et le reste. La méconnaissance même de sons est un rappel que, même aux fins de l'examen légère qui est tout ce que ces pages permettent un ajustement considérable de l'esprit est nécessaire. Nous devons, en quelque sorte, faire revivre la mémoire d'un monde qui a totalement disparu, qui avait disparu, en effet, bien près de mille ans déjà lorsque Christophe Colomb et ses premiers navires a aperçu les côtes du nouveau continent.

L'entreprise qui a les trois cents ou deux évêques à Nicée en 325 de partout dans le monde chrétien était de trouver un remède pour les troubles qui ont gravement troublé l'Est pour l'instant près de deux ans. La cause de ces perturbations est un nouvel enseignement sur le mystère fondamental de la religion chrétienne.

Laissez nos experts résumer la situation, et de dire ce que c'était que le nouveau chef, après le nom d'Arius, avait été récemment la vulgarisation, par des sermons, des écrits, des hymnes et chansons populaires. «C'était la doctrine de l'arianisme que notre Seigneur était une créature pure, faite à partir de rien, susceptibles de tomber, le Fils de Dieu par adoption, non par nature, et a appelé Dieu dans l'Écriture, non pas comme étant vraiment telle, mais seulement dans nom. Dans le même temps [Arius] n'aurait pas nié que le Fils et le Saint-Esprit étaient des créatures transcendently près de Dieu, et infiniment éloigné du reste de la création.

«Maintenant, par contre, comment l'enseignement des Pères qui l'ont précédé Arius, stand relativement à une telle représentation du Credo chrétien? Est-il par exemple, ou dans quelle mesure est-il par exemple, que de porter Arius en sorte qu'il soit? Ce C'est le premier point pour en savoir davantage au sujet de.

"Tout d'abord, l'enseignement des Pères est nécessairement dirigé par la forme du baptême, donné par notre Seigneur lui-même à ses disciples après sa résurrection. Pour devenir un de ses disciples a été, selon ses propres mots, pour être baptisé ' dans le Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit », c'est, dans la profession, dans le service, d'une triade. Telle était Seigneur injonction notre: et depuis, avant l'arianisme et après, en baisse de à ce jour, la première leçon dans la religion enseignée à chaque chrétien, sur son être fait un chrétien, c'est qu'il appartient ainsi à un certain Trois, que ce soit plus, ou si quelque chose de plus, nous est révélé dans le christianisme environ que trois.

«La doctrine puis d'une triade suprême est la vérité élémentaire du christianisme, et en conséquence, comme on pouvait s'y attendre, cette reconnaissance est une sorte de clé-note, sur le centre de la pensée et le langage de tous les théologiens, à partir de laquelle ils commencent, avec lequel ils finissent. "

Examen d'une chaîne de pré-Arian écrivains, de toutes les parties de la chrétienté, révèle qu '«il a été au cours de la deuxième et troisième siècles d'une profession et d'enseignement sur la Sainte Trinité, et non pas vague et nuageux, mais d'un certain caractère déterminé, et que cet enseignement "a été contradictoires et destructeurs de l'hypothèse Arian." Et de toute cette littérature le fait en ressort que, dès le début, "une doctrine ou d'autres de la Trinité se trouve à la racine même de la conception chrétienne de l' Être suprême, et de son culte et le service », et qu '« il est impossible de vue historique du christianisme en dehors de la doctrine de la Trinité. "

Il était autour de l'an 323 que la crise arienne développés. La lutte entre les partisans de la nouvelle théorie et les autorités de l'Eglise qui se tenait par la tradition était de continuer de là, partir pour une bonne cinquante ans et plus. Et maintenant, pour la première fois dans l'histoire de l'Église, l'État intervenait dans ce qui était, en soi, un différend sur la croyance. Un deuxième point à noter est que l'État, dans l'ensemble, du côté des innovateurs, et a été hostiles aux défenseurs de la vérité traditionnelle.

L'histoire de ces six cinquante-ans (325-81), qui a suivi le concile de Nicée et fermé à la prochaine réunion du Conseil général (Constantinople I), fait partie de l'histoire de ces deux conseils. Et sa complexité défie toute simplification sommaire. Si nous nous tournons vers Newman pour une indication sur le sens de tout cela, il nous dira que cette longue lutte opiniâtre et n'est rien d'autre qu'un passage particulier dans le conflit qui ne cesse entre l'Église et le pouvoir séculier. "Le principe même de gouvernement qui ont conduit les empereurs de dénoncer le christianisme alors qu'ils étaient païens, les ont amenés à dicter à ses évêques, quand ils étaient devenus chrétiens." Cette idée que la religion "devrait être indépendante du pouvoir d'État» a été, aux yeux de tous ces princes, contrairement à la nature des choses. Et non seulement ce conflit «inévitable», mais, Newman se poursuit, il aurait pu prévoir que probable que l'occasion du conflit serait une controverse au sein de l'Église sur une doctrine fondamentale. Newman derniers mots remarquables peuvent utilement nous avertir que dans les choses Histoire de l'Église ne sont pas toujours aussi simple que nous nous attendons.

Même l'histoire complète d'un général (c.-à l'échelle mondiale) Conseil a invité dans de telles circonstances, le premier conseil de ce genre - qui n'a pas de précédents pour guider sa procédure, ou de charger la généralité de la valeur particulière qui s'attache à ses décisions - même ce serait inévitablement présenter des difficultés pour les esprits seize cents ans plus tard, les esprits élevés dans une analyse détaillée, âgé de tradition de plusieurs siècles sur le genre de chose conseils généraux sont, et meublées avec des idées précises quant à leur nature, de la procédure, et l'autorité.

Mais nous sommes très loin de posséder quelque chose comme une histoire complète de ce premier concile de Nicée. De tout document officiel de la procédure d'aujourd'hui-jour - le acta du Conseil - il n'y a aucune trace. Les premiers historiens, dont les comptes de nos connaissances doit provenir, ont été dans une large mesure les écrivains partisans. Et les deux auteurs qui étaient présents au concile, celui qui était un historien a été un allié des hérétiques et la quasi-officielle panégyriste de l'empereur Constantin qui a appelé le Conseil, et l'autre, si En effet, il a beaucoup à dire sur le Conseil, n'a pas partout la prétention d'être la rédaction d'un compte rendu de ses actes.

Nulle part, bien sûr, est notre connaissance de l'histoire de ces premiers siècles de l'Église comme quelque chose aussi complète que notre connaissance de, disons, une partie de celui-ci au cours des cent dernières huit ou neuf ans. Dans l'affaire de Nicée, comme dans d'autres questions, les savants se disputent encore - et non pas sur des motifs religieux - si, par exemple, certains documents clés ont été réellement écrites par les personnages dont ils portent le nom. Sur les détails de l'histoire de tous ces premiers conciles, en raison de l'insuffisance de nos informations, il y a inévitablement une grande confusion, une grande obscurité. Pourtant, il existe des compensations pour ceux qui l'étudient. «L'histoire n'apporte pas clairement sur la toile les détails qui étaient familières aux dix mille esprits dont l'action conjuguée des mouvements et des fortunes dont elle traite. Tel, il est de sa nature même, ni le défaut peut jamais être entièrement résolu. Il doit être admis. .. encore on ne peut tromper son enseignement dans cette affaire, s'il l'accepte ou trébucher à elle. Bold présente, qui ne peuvent pas être ignorées, sortir des dossiers du passé, quand on regarde pour voir ce qu'il donnera en place pour nous: ils peuvent être faible, ils peuvent être incomplets, mais ils sont précis, il ya ce dont ils ne sont pas, qu'ils ne peuvent pas être. "

L'État, ou politique de la société, dans laquelle les troubles Arian était né et s'est développé ce que nous savons que l'Empire romain. Cet état, pour ses habitants, a été l'un et la même chose que la civilisation, et il n'est pas surprenant. Comme l'avènement de Constantin à la domination exclusive, en 324, a trouvé l'empire, il avait enduré pendant trois cents ans et plus. Histoire n'enregistre aucun succès politique, même à distance parallèle à cela. Pour l'empire a pris en, outre l'Italie, l'ensemble de l'ouest de l'Europe du Rhin et au sud du Danube et la moitié sud de l'île de Grande-Bretagne. Dans l'Est, il comprenait l'ensemble de l'État moderne que nous appelons la Turquie, avec la Syrie aussi, la Palestine et l'Égypte, et les terres sur la rive sud de la Méditerranée vers l'ouest, de là, vers l'Atlantique.

Courses aussi variés que les peuples qui aujourd'hui habitent ces terres, avec aussi peu d'entre eux s'unissent naturellement, vivait alors à quelque quatre cents ans sous le règne des empereurs, avec un minimum de perturbations internes et dans presque toute liberté de guerre étrangère. Le stress et les tensions de la vie intérieure de l'empire étaient, bien sûr, une menace constante à cette merveilleuse unité. Le chef suprême, à qui jeter la plénitude du pouvoir législatif, qui était le juge en dernier ressort dans tous les procès, et le chef de la religion nationale, a été la règle parce qu'il était le commandant en chef de l'armée: son imperator titre même, qui Nous traduisons «empereur», signifie simplement que cela. [8] et pour l'imperator, il a été l'un des principaux problèmes du gouvernement à maintenir son prestige militaire avec les grandes armées. Aucun homme ne pourrait à long régner sur le monde romain, qui n'a pas d'abord organiser les légions fidèle à lui-même par sa valeur professionnelle propre. Tous les grands dirigeants qui, au cours de ces quatre siècles, développé et adapté et réformé la vie complexe de l'État, ses finances, ses lois, son administration, ont été en premier lieu de grands soldats, des généraux très réussie: Trajan, pour Par exemple, Hadrien, Septime Sévère, Dèce, Dioclétien.

Et Constantin, premier empereur de renoncer à la religion païenne et de se professent un chrétien, se détachaient de sa génération avant tout comme un soldat très réussie, triomphant d'une série de concours avec des concurrents pour la place suprême. De telles guerres, les combats entre les généraux rivaux pour le trône impérial, ont été la malédiction chef de la vie politique romaine, et particulièrement en ce qui nous estimons que le troisième siècle, le siècle dans le dernier trimestre de Constantin lui-même qui est né. Il aurait été un petit garçon de neuf ou dix ans quand le grand est devenu empereur Dioclétien en 284, qui, pour mettre fin à ces guerres suicidaires, on associe immédiatement un autre soldat lui-même, comme empereur commune, celle de la règle de l'Est, la d'autres l'Occident. En 293 Dioclétien a pris cette dévolution du pouvoir un peu plus loin chaque empereur il y avait maintenant associé un type de l'empereur assistant, avec le titre de César, la règle actuelle des territoires attribués et destinée à être, dans le temps, son principal successeur. Le soldat choisi en 293 comme le premier César de l'Ouest a été le père de Constantin, Constance, communément appelé Chlore (la Zone) de son teint. Son territoire a été le pays modernes du Portugal, l'Espagne, la France, la Belgique et l'Angleterre.

Ces détails de la réorganisation politique ont un lien direct avec notre histoire. Le lecteur sait - qui n'en a pas? - Que l'une des caractéristiques de l'histoire de cet état romain était son hostilité à la religion chrétienne une génération à peine passé sans quelques graves persécutions. Et Dioclétien terminé son règne par la terrible persécution de tous les plus (303). Ceci est largement dû à l'influence de son collègue, le César, Galère, qui, en 305, devait lui succéder comme empereur d'Orient. Et de tous les territoires, c'est l'Égypte qui ont fourni la plupart des victimes dans les huit années que dura la Terreur - L'Égypte, qui devait être la scène principale des troubles Arian et, par excellence, de la résistance catholique à eux. En Occident, la persécution a été, par comparaison, doux, et dans les domaines de Constance Chlore il n'y avait pas de persécution à tous. empereur personnels Cette histoire religieuse, et son attitude envers la religion chrétienne, est pleine d'intérêt. Ses vues ont également été le point de vue de son fils Constantin, et ils peut-être fournir un indice de la et déroutant étrange histoire, non seulement du succès mépris Arian long des décisions du concile de Nicée, mais de cet empereur apparente de l'inconscience Christian première le défi.

propre personnage de Constantine est, bien entendu, un élément de première importance dans l'histoire du Conseil, il convoqua, et il en est le genre de chose que sa «conversion» au christianisme a été, une douzaine d'années avant que le problème se pose Arian. Au moment du Conseil, il touchait à sa cinquantième année, et il avait été empereur pendant près de vingt. L'histoire semble le révéler aussi intelligent, certes, mais passionné et entêté, une militante et audacieuse, en tant qu'administrateur, «magnifique», au sens aristotélicien. C'est-à-dire, il aimait les grands, les ont soutenus toujours avec une générosité princière, improvisé facilement, et ravi à éblouir par l'ampleur de ses succès. Il a été un élément naturel du personnage qu'il était ambitieux, confiant du succès, et - un caractère moins évident - son ambition était lié à une "mystique" croire qu'il était destiné à succéder, et bien sûr, si confus, idée que les puissances célestes étaient de son côté. Qu'il soit rappelé ici, une fois de plus, que cet homme était tout-puissant dans les affaires publiques, car aucune règle n'a été, même dans les récentes révolutions de notre temps, car romain Empereur toute-puissance du a été universellement acceptée par ses millions de sujets comme son droit, comme quelque chose qui appartient à la nature même des choses.

Il est moins facile de dire exactement ce que Constantin savait ou croyait à la religion du Christ, douze ans après, il avait, comme empereur, publiquement faite sienne. Certes, il serait une grossière erreur de considérer les affaires de son rêve mystique, à la veille de sa victoire au pont Milvius (312), qui fait de lui le maître suprême de l'Occident, que parallèlement à ce qui s'est passé à Saint- Paul sur le chemin de Damas. Son personnel propre religion à l'époque était celui de son père païen, le culte soudain promu au rang suprême que la religion officielle sur le temps que Constantin est né, puis par l'empereur Aurélien (269-75). Ce fut le culte de Sol Invictus (Soleil invaincu), le culte de l'esprit divin par qui tout l'univers est régi, l'esprit dont le symbole est le soleil, un symbole dans lequel cet esprit d'une certaine façon manifeste spécialement lui-même. Sous Aurélien ce culte a été organisé avec beaucoup de magnificence. Le temple du Soleil, qui fit construire à Rome doit avoir été l'une des merveilles du monde. de pièces de monnaie Aurélien porter la mention Le Soleil est le Seigneur de l'Empire romain. Le culte est toute pénétrée de l'idée qu'il y a un seul esprit qui est suprême, avec l'idée d'une monarchie divine de passer outre. En outre, le culte était en harmonie avec une religion philosophique sans cesse croissante, dans les hauts lieux de l'administration, tout au long de ce même siècle, le culte de Summus Deus - le Dieu qui est suprême.

Le père Constantin resté fidèle à ce culte de Sol Invictus, même lorsque ses aînés, Dioclétien et Maximien, revient à les anciens cultes de Jupiter et d'Hercule. Et une fois de Constantine - pas plus de César sur la mort de son père (306) - se sentait vraiment maître dans l'Ouest, Hercule et Jupiter disparu de sa monnaie, et Sol Invictus a été restaurée, tandis que les panégyriques officiels vantent «cet esprit divin qui régit tout ce monde. " Ce à 311.

Que Constantin recueillies auprès de son fameux rêve en Septembre 312 a été que cette divinité suprême était en lui promettant le salut dans cette crise militaire, avait envoyé un messager pour lui assurer de lui et de lui dire comment agir, et que ce messager était le Christ, le Dieu que les chrétiens adoraient, et que l'insigne de ses soldats doivent porter le signe du Christ, la croix. Il n'a pas, au lendemain de sa victoire, demander le baptême, ni même d'être inscrit comme un catéchumène. Constantin n'a jamais été autant que même cette. Et ce n'est qu'en mourant, vingt-cinq ans plus tard, était-il baptisé.

Il était, alors, un tout, mais ignorants, si enthousiaste, qui convertissent maintenant, avec toute la prudence d'un homme politique expérimenté, mis en son nom à l'édit de Milan (313), mis en place la religion chrétienne comme une chose autorisée par la loi, doté ses sanctuaires chef avec munificence royale, douche privilèges civiques, les honneurs, et la compétence de ses évêques, et même le début de la tâche délicate de mettre en place des idées chrétiennes dans le tissu de la loi. C'était un tout, mais ignorants converti qui, aussi, dans ces dix prochaines années - et dans la province agitée de l'Afrique - plongé hardiment dans la chaleur d'une guerre de religion, le schisme donatiste, avec la confiance instinctive que sa simple intervention aurait régler tous les problèmes. Entre la trêve avec les donatistes, 321, et l'apparition d'Arius en Égypte l'intervalle est bien courte. Que s'était-il Constantine tirées de l'expérience donatiste? Que s'était-il lui a appris sur le genre de chose de la société divine dans laquelle il a été si bien cru? Très peu, il semblerait.

La grande voir d'Alexandrie en Égypte, dont Arius était un prêtre depuis de nombreuses années avant son apparition comme un hérétique été troublée par le schisme. L'un des évêques suffragants - Mélèce par son nom - avait accusé son principal de céder au cours de la persécution, et, déclarant que tous l'évêque d'Alexandrie en actes invalides, avait procédé à consacrer les évêques dans un lieu après l'autre, en opposition avec lui. N'a pas non plus Mélèce cesser ses activités lorsque cet évêque d'Alexandrie en particulier décédé. Dans de nombreux endroits, il y avait bientôt deux ensembles de membres du clergé catholique, la ligne traditionnelle et le "mélétien" la confusion était grande et le concours amère partout, les gens fidèles aussi actifs que leurs pasteurs. "Il était hors de schisme mélétien que l'arianisme était né et s'est développé, un historien nous le dira. Arius avait été un "mélétien» en son temps, mais le nouvel évêque, Alexandre, avait reçu en arrière et l'avait promu à une église importante. Et là, son éloquence et de vie ascétique appris donna bientôt son enseignement roman comme la plus large publicité qu'il pouvait souhaiter.

la première Loi sur l'évêque de la, comme la propagation des nouvelles, a été d'organiser une discussion publique. Dans ce Arius fut vaincu. Il a ensuite désobéi à l'injonction de l'évêque de la physique de se taire, et se mit à chercher du soutien hors d'Égypte. Pendant ce temps l'évêque convoqua un conseil de la centaine d'évêques soumis à son siège; nonante-huit ont voté pour condamner Arius, et ses deux supporters, avec une poignée d'autres clercs ont été déposés. Arius a fui la Palestine, à un vieil ami généralement considéré comme le plus grand érudit de la journée, Eusèbe, évêque de Césarée. Et de Césarée les deux ont commencé une vaste correspondance d'obtenir le soutien des évêques devrait être amicale à la cause, aussi loin que la capitale impériale, Nicomédie.

Déjà il y avait un lien entre Arius et beaucoup de ceux à qui il écrit. Ils étaient comme lui des élèves de la célèbre professeur de même de la dernière génération, Lucien d'Antioche, dont l'école - et non pas d'Alexandrie - a été le lieu de naissance réelle de ce nouveau développement théologique. Et Arius pourrait aborder prélats tels que «Chers-Lucianist." De tous ceux à qui il écrivait maintenant, aucun n'a été aussi importante que d'une seconde Eusèbe, évêque de la ville impériale elle-même, et d'une puissance possible avec l'empereur à travers son amitié avec la sœur de Constantin, l'impératrice Constantia, épouse de l'empereur d'Orient, Licinius. L'évêque de Nicomédie Lucianist est passé à l'occasion », comme si le sort sur lui toute l'Église dépend," l'évêque d'Alexandrie se plaint. Pour Eusèbe, lui aussi, circularisés l'épiscopat en général, et convoqua un conseil des évêques, et ils ont voté que Arius devrait être rétablie, et a écrit pour demander ce de l'évêque d'Alexandrie.

Évêque Arius, de son côté, avait été aussi active. Nous savons que des lettres qu'il écrivit soixante évêques de partout dans le monde chrétien; entre autres à qui il a été écrit le pape. Et depuis toutes ces lettres épiscopales ont été copiés et transmis ronde, composée dans des collections et, comme nous dirions, publiés, l'ensemble de l'Orient fut bientôt en feu, les combats et les émeutes dans une ville après l'autre. Rares de ces amateurs auraient pu comprendre les discussions des théologiens, mais tous compris que ce que Arius disait que le Christ n'était pas Dieu. Et si tel était le cas, que dire de la mort rédemptrice sur la Croix? Et ce qui était pécheresse de l'homme d'espérer quand il est mort? Quand l'évêque d'Alexandrie stigmatisé son prêtre rebelle comme Christomachos (combattant contre le Christ), il a décroché la question de telle manière que tous, de l'empereur chrétien du quai de la main plus humble dans le port, doit être personnellement intéressé, et passionnément.

Pendant ces premiers mois de l'agitation Constantin avait, cependant, d'autres questions à l'occuper, et, pour commencer, l'agitation n'était pas de son entreprise. Au moment où le grand mouvement a commencé, aucun des terres touchées se trouvaient sous sa juridiction. Mais en cette même année, 323, la guerre éclata entre lui et son collègue de l'Est, son frère-frère, Licinius. En Juillet 324 Constantin, Licinius envahisseur du territoire, le battit fortement à Andrinople, et en Septembre il a obtenu une deuxième victoire à Chrysopolis. Ultérieure Licinius fut mis à mort. Lorsque le vainqueur entra dans sa nouvelle capitale dans les semaines qui ont suivi, il y avait dans son ménage un prélat espagnol qui avait habité avec Constantine depuis quelques années maintenant, Hosius, évêque de Cordoue. C'est à lui que Constantin, avec la nouvelle crise arienne en face de lui, désormais tournée.

Arius, désormais, était de retour à Alexandrie, supplémentés avec le vote du Conseil à Nicomédie et d'un (plus péremptoire) second concile à Césarée, pour exiger la réintégration décrété. Son arrivée, et la campagne de propagande lancée aujourd'hui, a embrasé la ville entière. Et Constantin envoyé Hosius de faire une enquête personnelle de l'affaire. Quand il revint faire son rapport, Alexander et Arius bientôt suivi. La crise s'installe ensuite à la grande troisième ville de l'empire, Antioche. L'évêque y avait récemment décédé, et quand les six cinquante-évêques soumis à Antioche vint de la Palestine, l'Arabie, la Syrie, et ailleurs, pour élire un successeur (Janvier 325, sans doute), ils ont l'occasion de constater le développement Arian. Tous, sauf à l'unanimité (53-3), ils ont condamné la nouvelle doctrine, et excommunié - provisoirement - les trois dissidents. Un de ces était l'évêque de Césarée.

Et maintenant, quelque part au début du printemps de 325, il a été décidé de convoquer un représentant du conseil de tous les évêques dans le monde. Qui est-ce que passer en premier ce grandiose, si simple, d'un plan? Nous ne savons pas. Dans quelques mois - non pas simultanément, mais à proximité impressionnante dans le temps - conseils a eu lieu à Alexandrie, Antioche, Césarée, Nicomédie, où une bonne moitié des évêques de l'Est doivent avoir pris part, à savoir, une bonne proportion de la moitié considérablement plus nombreux de tout l'épiscopat. Celui qui était à qui l'idée d'un Conseil de l'univers chrétien première a eu lieu, il a été décidé qu'il Constantin, qui devrait avoir lieu, et qui ont choisi le lieu et envoyé les invitations aux évêques, en offrant à tous le libre passage dans le transport impérial service.

Le Conseil a ouvert, dans le palais d'été impérial à Nicée, Le 20 mai 325, avec quelque chose de plus de trois cents évêques présents, la grande majorité d'entre eux de la langue grecque terres où la peine faisait rage, l'Égypte, Palestine, Syrie , et l'Asie Mineure. Mais il y avait aussi les évêques de la Perse et du Caucase, des terres entre le Danube et la mer Egée, et de la Grèce. Il a été l'un de l'Afrique et par l'Espagne, l'un et l'autre de la Gaule de l'Italie, et depuis la grande époque de l'évêque de Rome interdit à ses effectuant le voyage, il était représenté par deux de ses prêtres.

Eusèbe de Césarée, qui a décrit les grands moments du Conseil était manifestement ému, comme nous aussi peut être, par son souvenir de la scène où, les évêques réunis dans la grande salle du palais, certains d'entre eux boiteux et aveugles de l' tortures subies dans les persécutions, le maître de l'Empire romain chrétien monde entier est entré, vêtu d'écarlate et d'or, et avant de prendre sa place sur le trône, leur ordonna de s'asseoir. Constantine est venu avec un minimum de faste, et dans sa brève allocution, il n'a pas plus que bienvenue les évêques, les exhorter à la conférence de paix, et admettre que le spectacle de «sédition» au sein de l'Église lui a causé plus d'anxiété que toute bataille.

Le peu que nous savons de l'histoire réelle du Conseil est bientôt dit. La théologie d'Arius fut condamné à l'unanimité - mais il aurait eu vingt-deux partisans parmi les évêques. Mais si c'était une simple question à l'épiscopat pour témoigner de sa conviction que la Parole divine était vraiment Dieu, il était moins facile de s'entendre sur la meilleure façon de formuler une déclaration de cette foi, c'est à dire de construire une déclaration à laquelle aucune subtilité pourrait donner un sens hérétique Arian aussi. Une partie des évêques voulait qu'aucune disposition doivent être utilisés qui ne sont pas déjà utilisé dans l'Écriture. Mais les Écritures n'avait pas été écrit dans le but de réfuter philosophiquement hérétiques esprit. Il est maintenant nécessaire de dire que l'Écriture a accepté signifiait seulement "ce" et non "que" de même. Et si cela devait se faire, la technique doit être adoptée de battre un mot spécial à cet effet.

La déclaration que le Conseil a finalement il est passé - le credo du concile de Nicée - stipule que: «Nous croyons... Dans un Seigneur Jésus-Christ, le fils de Dieu, né du Père, le Fils unique, c'est- à-dire de la substance du Père, Dieu né de Dieu, Lumière née de la Lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu, né, non pas créé, consubstantiel au Père [dans l'original grec, l'homo-ousion Patri] toi, par qui tout a ont été faites, qui sont dans les cieux et sur la terre... »[11a] Le mot homo-ousion est la non-scripturaires mot spécial qui le Conseil a adopté pour caractériser le vrai, la croyance traditionnelle, un mot, il était impossible à concilier avec les sorte de théorie Arian, un mot d'essai qui serait toujours très clairement que toute théorie Arian était incompatible avec la tradition chrétienne, et qui servirait les fins pratiques de prévenir toute nouvelle infiltration de ces ennemis du Christ dans l'Église, et la défaite tout effort de changer la croyance de l'intérieur.

Qui est-ce qui est proposé au Conseil de ce mot précis, nous ne savons pas. Un historien arien dit que c'était l'évêque d'Alexandrie et Hosius de Cordoue. Saint Athanase, qui était présent au concile, il a été dit Hosius. Ce qui semble clair, c'est que les évêques, solidement établi que l'hérésie qu'il faut l'éradiquer, étaient encore loin d'être heureux sur les moyens choisis. Le homoousion mot leur était connu déjà. Depuis longtemps avant le moment d'Arius et Lucian elle avait une mauvaise histoire de l'Orient, comme il sera expliqué. Mais Constantin définitivement se déclara en faveur de l'utile instrument unique, et le Conseil l'a accepté, chaque évêque se levant à son endroit et donner son vote. Deux évêques seulement refusé leur consentement. Avec Arius, prêtre et quelques supporters, ils ont été rapidement envoyés en exil par l'empereur de la commande.

Les évêques ensuite transmis à d'autres problèmes. En premier lieu, les ans mélétien schisme de vingt ans. Ses dirigeants ont lancé un appel à Constantine, et l'empereur a laissé au Conseil de juger. Les évêques soutenu leur frère d'Alexandrie, mais offert les schismatiques termes très facile, le rétablissement de Mélèce lui-même à son siège de Lycopolis. Mais il n'était pas, plus jamais, de conférer les ordres sacrés, et tous ceux qu'il avait illégalement ordonné devaient être à nouveau avant reordained officiant. En outre, ils devaient être désormais soumis à la vraie, c'est à dire, catholique, évêque du lieu. Ceux que Mélèce avait fait évêques pourrait être élu à voit dans l'avenir, comme postes vacants se pose - toujours avec le consentement de l'évêque d'Alexandrie, le chef traditionnel de cette vaste épiscopat.

Un deuxième problème pratique, qui a taquiné les Églises orientales depuis des générations, a été finalement résolu, à savoir., Dont la date de la fête de Pâques doit être calculé. «Tous nos bons frères de l'Orient qui jusqu'à présent ont été utilisées pour maintenir Pâques à la Pâque juive, sera désormais le conserver en même temps que les Romains et vous,« si les évêques de l'Égypte a annoncé dans une lettre à leur peuple.

Enfin les évêques vingtaine de lois promulguées - Canons - pour le respect général. Comme la solution proposée pour la Mélétiens Ils se distinguent par une douceur nouvelle de ton, une qualité plus romain que orientales, on peut dire. Ils sont, en grande partie, une répétition de mesures adoptées onze ans plus tôt au sein du Conseil latine tenue à Arles, en Gaule. Cinq canons face à ceux qui tombèrent dans la persécution des dernières années. Si une telle ont depuis été admis à l'ordination, ils doivent être déposés. Ceux qui apostasié librement - c'est à dire sans la contrainte de la peur - sont à faire années de pénitence douze avant d'être admis à la sainte communion. Si, avant la pénitence est terminée, ils tombent malades et sont en danger de mort, ils peuvent recevoir le Saint Viatique. Devraient-ils alors se rétablissent, ils doivent avoir lieu avec la plus haute classe des pénitents - ceux qui sont autorisés à entendre la messe, mais de ne pas recevoir la Sainte Communion. Catéchumènes qui sont tombés loin - à savoir, les chrétiens non encore baptisés - sont à faire années de pénitence trois, puis de reprendre leur place que les catéchumènes. Enfin, les chrétiens qui, après avoir quitté l'armée, avaient de nouveau enrôlés dans l'armée du persécuteur, l'empereur Licinius détruits récents, sont à faire années de pénitence treize ans, ou moins si l'évêque est convaincu de la réalité de leur repentir , mais toujours trois ans de pénitence, au moins.

Il ya deux canons sur le réadmission des schismatiques hérétiques. Tout d'abord il ya les restes du schisme commencé à Rome par l'antipape Novatien quelque cinq soixante-dix-ans avant le Concile. Novatien était l'un des nombreux que la classe assez pour lesquels les dirigeants de l'Église face beaucoup trop légèrement avec les pécheurs repentants. Il finit par nier que l'Eglise avait le pouvoir d'absoudre ceux qui tombèrent en temps de persécution, et ses disciples, soi-disant "purs", a étendu ce handicap à tous les péchés d'idolâtrie, péchés sexuels, et assassiner. Ils ont également considéré le second mariage comme un péché sexuel. A cette époque il y avait de nombreux Novatiens en Asie Mineure, et le Conseil a offert des conditions généreuses à ceux qui voulaient se réconcilier, tout en reconnaissant les ordres de leur clergé, et de la dignité de leurs évêques, mais exigeant des déclarations écrites qu'ils considèrent comme catholiques collègues ceux qui ont contracté un second mariage et ceux qui font pénitence pour apostasie.

Pour une deuxième classe de schismatiques de la même générosité a été montré. Il s'agissait de la secte qui descendait de l'évêque d'Antioche notoire, Paul de Samosate, déposé en 268 par un conseil des évêques, pour divers crimes et pour son enseignement hérétique qu'il n'y a pas de distinction entre les trois personnes de la Sainte Trinité. Mais ces Pauliniens "," afin de les appeler, sont à être rebaptisés. Ceux qui avaient fonctionné comme membres du clergé peuvent être reordained si l'évêque catholique à qui ils font désormais l'objet juge à propos.

Sur divers aspects de la vie de bureau il ya autant de canons que dix. Nul ne doit être ordonné, qui a lui-même castré, ni personne que récemment convertis à la foi. «Hier, un catéchumène, un évêque d'aujourd'hui», dit saint Jérôme: «Dans la soirée au cirque et le lendemain matin à l'autel; récents patron de comédiens, maintenant occupé consécration des vierges juste." C'est le canon lui-même qui parle de l'ordination et la consécration épiscopale, qui suit immédiatement le baptême. Évêques ne sont pas d'ordonner évêque objet d'un autre sans son consentement. Aucun clercs - évêques, prêtres, diacres ou - sont de passer d'un diocèse à un autre. Les clercs sont interdit de prendre des intérêts pour les prêts d'argent, et pour cette infraction, ils doivent être déposés.

Enfin, il ya deux canons sur trois célèbres voit: Alexandrie, Antioche, Jérusalem. Le Conseil confirme l'ancienne coutume qui donne à l'évêque d'Alexandrie de la compétence sur les évêques des provinces civiles de l'Égypte, la Libye et la Pentapole. Et même les anciens privilèges de la voir d'Antioche et de [le chef voit] des autres provinces. Jérusalem est une ville à part, la ville sainte par excellence, et bien que son évêque reste plus que jamais l'objet de l'évêque métropolitain de Césarée, il est autorisé ce canon 7 demande une préséance d'honneur, sans un soupçon de dire en quoi cette compose.

Toute cette variété de l'entreprise a été rapidement expédié, pour le Conseil a tenu sa dernière session à peine quatre semaines après son ouverture, Juin 19, 325.

Comme la date de tous, mais a coïncidé avec les célébrations qui ont marqué la vingtième année de règne de Constantin, l'empereur recevait les prélats lors d'un banquet dans le style impérial plein, et comme ils passaient devant les gardes, présentant les armes en guise de salut, ils se demandaient, dit Eusèbe , si le Royaume du Ciel sur la terre n'avait pas enfin venu de passer.

Enregistrer de la lettre des évêques de l'Égypte, déjà mentionné, et deux lettres de l'empereur, l'une générale, annonçant la nouvelle règle sur Pâques, l'autre disant au peuple de l'Égypte que les évêques ont confirmé la croyance traditionnelle et que Arius était l'outil du diable, nous savons que rien de ce qu'on pourrait appeler «la promulgation» de décisions du Conseil de la. Mais l'éclatement de la grande assemblée n'était pas suivie par le silence qui accompagne la paix parfaitement atteint. Les troubles réel n'avait pas encore commencé.

NOTES

1. Newman, causes de la montée et les succès de l'arianisme (Février 1872) dans les secteurs, théologique et ecclésiastique, pp. 103-4.

2. Ibid., 116. Pour Newman "examen", 103-11.

3. Ibid., 112.

4. Ibid., 96, 97 pour les passages cités.

5. Eusèbe, évêque de Césarée (? 265-338).

6. Saint Athanase, évêque d'Alexandrie (328-73), né le? 295.

7. Newman, Le développement de la doctrine chrétienne, 1re éd., 1845, pp. 7, 5, avec une phrase ("Toujours pas un», etc) à partir de ibid., Rev. ed., p. 7.

8 Un dictionnaire de latin standard donnera une base équivalente d'abord, «commandant en chef."

9. J. Lebreton, SJ, Histoire de l'Eglise, sous la direction de A. Fliche et Mgr. V. Martin (désormais dénommé F. et M.), vol. 2, p. 343.

10. Le moderne Scutari, sur la rive asiatique du Bosphore.

11. Une ville de 60 à 70 miles de Constantinople, sur la rive asiatique du Bosphore, à la tête du lac Iznik. Il était environ 25 miles au sud de la capitale, puis, Nicomédie.

11a. Denzinger, Enchiridion, no. 54, imprime le texte grec; Barry, Readings in Histoire de l'Église, p. 85, donne une traduction.

12. Le mot a ici un sens particulier que le nom de civile) diocèse (dont Antioche était la ville principale, Oriens: le Liban moderne, Israël, la Jordanie, la Syrie, la côte de là vers le nord et l'ouest de la Turquie pour 200 miles avec une bonne un vaste territoire à l'intérieur qui va au-delà de l'Euphrate.

13. Schroeder, décrets disciplinaires des Conseils généraux (1937), imprime le texte et une traduction. La présente note a pour objet tous les conseils jusqu'à la Cinquième Latran de 1512-17. Barry, n ° 16, donne une traduction.

De: L'Eglise en crise: une histoire des conseils généraux: 325-1870 
CHAPITRE 1 
Mgr. Philip Hughes
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